Le champs des possibles
On aurait tendance à penser que ce type d’expérience s’applique essentiellement au “développement personnel”. Ça l’est bien évidemment, et c’est un aspect central de l’atelier.
Mais le tout premier « Je du hasard » a montré qu’il était créatif sur un plan très concret : il a permis de révéler cet atelier de toute pièce à partir des événements synchronistiques qui s’y étaient déroulés.
Par exemple, une conteuse venue expérimenter l’atelier, a découvert une nouvelle façon d’écrire des contes à partir des événements synchronistiques qui s’étaient présentés à elle.
Ce champs est certainement vaste. Nous ne pourrions être limité que par notre capacité à nous poser les bonnes questions et à écouter les réponses sur un mode symbolique.
Nous faudrait-il alors simplement JOUER…le JE et nous laisser guider par lui ?